Le jour où Loup Gris est devenu bleu, de Gilles Bizouerne, chez Didier Jeunesse **
Comme dans le précédent album, Loup Gris a très faim... si faim qu'il se rapproche du village, s'aventurant près d'une immense jarre. Si près, qu'il tombe dedans, pour en ressortir tout bleu (c'était de la peinture)).
Profitant de ce changement d'apparence, il fait croire aux animaux qu'il rencontre (une chèvre, puis un coq, puis un âne) qu'il n'est pas celui qu'ils croient. Il leur promet de les mener dans un endroit où ils trouveront tout ce qu'ils rêvent de manger (se promettant à lui-même de les manger eux, une fois à l'abri de la forêt).
Malheureusement pour lui, la pluie se met à tomber, et la peinture va s'effacer (sans qu'il ne s'en aperçoive), révélant ainsi sa véritable identité, ce qui fait fuir les acolytes. Se retrouvant tout seul, Loup Gris aura toujours bien faim !
Moins drôle que le précédent, qui était franchement hilarant, mais un bon moment quand même.